Interview – Lesley Jayne : Rocking with My Radio

Étroitement lié à son amour pour la France et à sa rencontre avec le groupe Martin Circus (et plus particulièrement avec Gérard Blanc qui deviendra son mari) le destin de Lesley Jayne, débarquée toute jeune de son Île de Wight natale, la pousse inexorablement vers la chanson. En une poignée de pop songs électroniques dynamiques et entraînantes, la jolie anglaise se fait une place sur nos ondes et Rocking with My Radio se hisse dans les 20 meilleures ventes en mars 1982 (dépassant les 200 000 copies écoulées rien qu’en France) bientôt suivi par Sailing Away ainsi qu’un premier album. Lesley Jayne est revenue pour nous avec beaucoup de tendresse et d’humour sur ses années dans la chanson.

Vous naissez sur l’île de Wight mais vous découvrez la France très tôt. Qu’est-ce qui vous a attiré en France et qu’est-ce qui vous a poussé vers la musique ?

J’étais une amoureuse de la France. Adolescente je lisais Sagan et j’étais fascinée par la mode, à cette époque-là c’était autre chose. Petite, je voyais ma mère sortir avec de belles toilettes. C’est Paris et la mode qui m’ont attiré, plus le fait que j’adore voyager et que je m’ennuyais dans mon petit coin de l’Île de Wight. C’est un endroit magnifique et je l’aime, mais à part se promener dans la nature ou faire du bateau, il n’y a pas grand-chose à y faire. Je rêvais du centre de Paris et c’est là où je suis aujourd’hui ! J’ai été biberonnée à la pop music des années 60 où on était vraiment gâtés. Mes deux parents chantaient très bien mais personne ne faisait de la musique comme métier dans ma famille, si ce n’est mon oncle qui jouait de la trompette, il jouait du jazz avec un groupe et mon grand-père qui jouait du piano et de l’orgue. On avait des disques et très jeune j’entendais les standards américains puis, vers onze ans, on avait une baby-sitter, ma sœur et moi, qui venait avec son transistor et nous initiait aux radios pirates comme Radio Caroline et Luxembourg et on entendait toute la pop de l’époque, c’était super ! J’ai pris des cours de violon pour éviter les cours de maths le vendredi après-midi au lycée mais le prof me tapait sur les fesses avec son bâton et quand je faisais mes devoirs de violon tout le monde fuyait, alors ça n’était pas possible. J’ai donc demandé une guitare à Noël quand j’ai eu douze ans. J’ai appris des accords avec une méthode et j’ai commencé comme ça à m’accompagner. J’ai toujours chanté d’une façon ou d’une autre : dans la chorale de l’église, au concert de fin d’année au lycée avec ma guitare. Nous n’avions pas de piano à la maison, mais un ami m’en a offert un vieux, en bois, gravement vermoulu ! Mon père l’a viré, grosse déception ! J’avais une correspondante parisienne qui m’envoyait des disques : Johnny Hallyday, Françoise Hardy, Sylvie Vartan… et puis à 18 ans je suis venue à la Sorbonne pour étudier le français tout en étant « au pair » pour deux filles ados à Boulogne. Je m’imprégnais de la culture pop française que j’essayais de jouer à la guitare. J’ai ensuite fait deux années d’études à Londres dans les années 60 et ça n’était pas triste ! J’ai bien travaillé la première année mais plus du tout la deuxième où je sortais tous les soirs. Dans les restaurants j’étais assise à côté de Mick Jagger et les Stones, et dans les boîtes il y avait les Beatles… J’ai raté mes examens, mes parents étaient furieux mais moi j’étais contente. Et puis ça s’est enchaîné avec la rencontre avec Gérard Blanc. Ma famille au pair avait une maison près de Saint Tropez et dans une boîte où on allait le soir avec les deux filles, il y avait une bande de garçons qui nous tiraient dessus avec des sarbacanes et c’est comme ça que j’ai connu Gérard. Il m’a draguée avec une sarbacane !

Il était déjà musicien à ce moment-là ?

Il jouait de la guitare dans son groupe, les Windings. Puis je suis allée travailler deux années en Suisse et quand je suis retournée à Paris je suis allée les voir jouer. Quand je l’ai retrouvé il avait des moustaches ! Et le groupe s’appelait Balthazar. Ils allaient enregistrer un disque et j’ai même fait des paroles pour eux, Maura Maura. On a commencé une sorte de collaboration et plus tard, quand il a eu beaucoup de succès, Gérard composait en chantant en yahourt anglais et je me mettais à côté de lui et je lui donnais des paroles. Donc la plupart de ce qu’il a fait, y compris Une autre histoire par exemple, a commencé par être en anglais, ça s’appelait There Must Be a Woman. Je touche encore des droits là-dessus, je ne sais pas pourquoi… Peut-être que quelqu’un l’interprète. 

La chanson ça arrive comment ?

Une petite anecdote : le soir de mon arrivée à Paris je me suis retrouvée à table avec Serge Gainsbourg et France Gall ! Je portais une minirobe en angora lavande très courte, et France Gall m’a dit : « Ta jupe est trop longue ! » Bref, j’étais avec un copain qui était photographe, qui connaissait du monde à Paris et qui voulait me lancer dans la chanson. Par lui j’ai eu des opportunités, mais ça n’était pas vraiment ce que je voulais faire, c’était des accidents. Par exemple, dans la boîte où j’ai connu Gérard il y avait un groupe qui jouait et quand le chanteur allait boire un coup il me passait le micro et c’est moi qui chantais les Beatles. Le patron m’a demandé si je voulais venir répéter l’après-midi avec eux mais moi je préférais aller à la plage ! 

Vous vouliez faire quoi à l’époque ?

Le tour du monde en solitaire sur un voilier (rires) ! Je ne voulais pas encore me stabiliser, mais tout me ramenait ici. Mon destin musical était clairement à Paris !

En 1980 vous signez le texte de Long Ago Love sur la version anglaise de l’album De sang froid de Martin Circus. 

J’ai fait deux titres en anglais paroles et musique que les Martin ont interprétés en français, Long Ago Love (Tu m’étranges) et Chase My Blues Away (Chasse mon blues au loin). Je composais dans ma tête. Ça m’arrivait de me réveiller avec une chanson dans la tête. J’ai fait comme ça une chanson qui a ensuite été interprétée en français par Julie (Pietri, ndlr) qui s’appelle Unlucky Blue (J’me maquille blues). Je me suis réveillée au milieu de la nuit avec ça sans savoir d’où ça venait, j’avais peur de plagier quelqu’un, de l’avoir déjà entendue… Le parolier de Julie a ensuite adapté le texte. Gérard Blanc et Alain Pewzner, le guitariste de Martin Circus, travaillaient avec des membres de son équipe, de toute façon tout le monde se côtoyait, on sortait beaucoup, ils jouaient souvent ensemble…

Toujours en 1980 vous enregistrez votre premier 45 tours solo, Starway, écrit et composé par Fabien Schnetzer et Alain Pype sur le label Carissima.

Je ne sais plus comment j’ai connu Alain Pype et Fabien Schnetzer, à l’époque je prenais des cours d’art dramatique… On a enregistré au studio Ferber, c’était une super bonne expérience. Christian Kiefer, le producteur, était quelqu’un qui avait envie de produire mais qui était plus ou moins inconnu. J’ai fait quelques télés avec ce premier disque, c’était très sympa mais ça n’a pas fait beaucoup de carrière. Mais j’ai fait d’autres choses avant ça : j’ai fait partie d’un groupe qui s’appelait Harmony 5 et qui postulait pour le Concours de l’Eurovision, on était sur la sélection française en 1976. On était cinq chanteurs sans instruments et on a enregistré un disque qui s’appelait Ne dis pas que tu m’aimes. Il y avait une chanteuse principale puis deux filles et deux garçons et on a fini deuxième, on a même fait des télés en Allemagne. Avant ça j’avais aussi enregistré des voix sur un disque sorti chez Carrère qui s’appelait Touchez pas, je ne sais plus quand…

Comment naît Rocking With My Radio en 1981 ?

Ce qui s’est passé c’est que Martin Circus avait eu beaucoup de succès puis à un moment ça a baissé et leur maison de disques leur a fait un plan dégueulasse. Vogue leur a dit : « Maintenant vous faites du commercial sinon vous êtes morts, on vous remplace, regardez, on a acheté votre nom ! » Il y a eu je crois deux procès et interdiction d’enregistrer pendant au moins deux ans. Pendant cette période ils avaient également interdiction de se produire mais pas moi ! Donc on a eu l’idée de me produire ainsi que Cassie, une des « Marylène », qui a fait carrière en même temps, pour qui par la suite j’ai aussi fait une chanson, Miroir Soul, on a tourné ensemble, c’était très sympa. C’est comme ça que j’ai eu l’opportunité de voir si je pouvais me lancer là-dedans. 

Elle vous plaisait cette chanson-là ?

Oui, même si j’avais un esprit plus rock. J’étais plutôt branchée par le rock anglais comme Genesis, Queen, les Police, Bowie. J’adore la musique électronique mais je n’en étais pas encore là à l’époque. En 1980/81 on était à la charnière entre l’analogique et le numérique, Rocking était vraiment un mélange et on allait vers des sons que par la suite j’ai adorés. Mais Gérard et Sylvain ont été très gentils et on a fait un compromis et ça a eu son succès donc c’était super.

La face B, My Isle of Wight, était quelque chose de plus personnel et nostalgique…

Oui, c’est vrai ! Il est arrivé une histoire avec ça. Rocking est sorti, on testait les disques dans une boîte pour voir si ça faisait danser les gens et ça marchait bien. Le producteur de ce 45t connaissait Yves Mourousi. À l’époque Mourousi faisait les infos de 13 heures sur la Une et il a fait un flash sur moi en fin d’émission, ce qui était énorme à l’époque ! Je ne saurais jamais comment mais il a passé la face B, My Isle of Wight ! Donc, comme il s’était trompé, la semaine suivante il a passé la face A, Rocking ! Et puis à cette époque les radios libres se lançaient dans tous les coins, et comme il y avait le mot radio dans mon titre, j’étais l’invitée de toutes les radios FM de France et j’ai fait aussi beaucoup de galas, j’étais au Top des clubs et des discothèques, y compris en Corse, en Belgique, en Italie et jusqu’aux Îles Canaries aussi. Mais c’était de très bonnes chansons. J’ai lutté un peu avec le côté électronique et les « shoubi dou dam dam » mais à la fin je pense qu’on aurait pu y aller encore plus dans le côté pop.

C’est un grand succès en France, le disque sort dans de nombreux pays et la chanson est même reprise par Samantha Fox dont ce sera le premier single. Comment la chanson lui est parvenue ?

C’est une histoire de maison de disques… Sa version est sympa, je crois que je l’ai au fond d’un placard… Il y a eu un cover en français aussi par Mylène, Des requins dans ma radio, et une version italienne.

Après un autre 45 tours, Sailing Away, qui marche bien aussi, vous enregistrez tout un album composé par Gérard Blanc et Sylvain Pauchard dont vous signez les textes. C’était comment de travailler avec eux ?

Horrible ! (rires) Ils étaient très très exigeants. Tellement qu’à un moment je ne l’ouvrais plus ! Au fur et à mesure de l’enregistrement de l’album je m’enfonçais dans une espèce de déprime. C’était très difficile, parce qu’ils avaient eu beaucoup de succès, parce que Sylvain avait une grande culture plutôt classique et moi pop rock et Gérard n’était pas très pédagogue. Gérard était un pur et dur, il ne vivait que pour son métier et le professionnalisme était primordial pour lui. J’avais enregistré en tout premier My Isle of Wight, j’aime beaucoup ma voix sur cette chanson, et ensuite j’étais très enthousiasmée par Rocking. Quand on enregistrait l’album, je trouvais que certains des titres étaient très speed, et ça n’était pas vraiment moi, surtout Samba, c’est une rythmique que je ne sentais pas. Mais rétrospectivement j’aurais dû leur faire plus confiance je suppose. Félix Landau, qui avait signé le texte de Rocking With My Radio, devait repartir en Californie et c’est là que j’ai sauté sur l’occasion de faire quelques chansons pour mon album. Sailing Away était très speed aussi mais je faisais vachement danser avec ça dans les galas. J’ai chanté dans beaucoup de discothèques et de salles des fêtes. Les artistes de l’époque se retrouvaient sur des plateaux d’une vingtaine d’artistes et tournaient dans toute la France, on bougeait beaucoup avec nos chansons, c’était vraiment une époque super. Je ne sais pas ce qu’on fait aujourd’hui… Mais je ne changerais mon âge pour rien au monde !

La photo est de Mondino, quel souvenir en gardez-vous ? Vous aviez fait du mannequinat ?

Lui était super, vraiment, les photos de l’album sont magnifiques. J’avais fait un peu de mannequinat, des défilés dansés, des photos, mais ça non plus ça n’était pas mon truc. Je n’ai jamais su ce que je voulais faire dans la vie, j’aime toucher à tout ! En moyenne ce que j’ai fait professionnellement a duré trois ou quatre années intenses et puis j’ai changé, j’ai « go with the flow », je ne me suis jamais ennuyée. La chanson c’est pareil, ça a duré trois ou quatre ans…

En 1985 sort le dernier single, Not to Be

Et vraiment c’est le cas ! (rires) C’est la chanson où je chante le mieux, je commençais à vraiment chanter, à composer, à être à l’aise sur scène, et c’est dommage. La production avec Manu Vogel s’est écroulée et il a disparu. J’ai enregistré Lonely Night avec Yves Roze qui n’est pas sorti et j’ai travaillé sur des textes de chanson. Les Martin reprenaient leurs activités et ça s’est fini comme ça. Pourtant je m’étais équipée, j’avais acheté un clavier, un synthétiseur, je travaillais sur des chansons… Et puis avec Gérard on s’est séparés, tout s’est écroulé en même temps. J’avais pourtant une chanson que je trouvais super, Bop the Drum, que j’ai présentée à la Warner qui m’a signée immédiatement, mais ensuite le directeur artistique qui m’avait signée a été renvoyé et c’est tombé à l’eau aussi ! Donc j’ai compris, j’ai arrêté et j’ai fait autre chose. Je ne suis plus dans le milieu de la musique depuis. Mais je me souviens que, pendant l’enregistrement de ce titre, il y avait Les Avions qui enregistraient dans le même studio et c’est ma voix qu’on entend sur Nuit sauvage !

Il y a pourtant ensuite des textes pour Patrick Hernandez, et des textes en anglais pour l’album de la princesse Stéphanie.

Gérard travaillait au Studio Marcadet avec Yves Roze sur l’album de Stéphanie à ce moment-là et on s’est dit : « C’est super, on va se faire un peu de… gloire (rires) ! » Et en fait, Stéphanie est partie en Californie avec son Mario et elle n’a pas voulu revenir, elle n’a pas fait la promo de nos chansons… Mais je vois encore sur mon relevé SACEM qu’il y a des gens qui passent ces titres. C’était stressant parce que Gérard m’appelait du studio le soir en me disant : « Il faut un texte pour neuf heures demain matin ! » et me conditionnait sur ce que Stéphanie voulait exprimer. Mais je ne l’ai pas rencontrée. Je travaillais sous la pression mais je pondais ! Et puis un jour son père a envoyé les flics qui ont vidé le studio et renvoyé tout le monde pendant l’enregistrement. Heureusement c’était à peu près fini mais son papa n’était pas content. Je pense qu’il n’était pas très heureux de la savoir à Paris en train d’enregistrer des chansons avec des gens qu’il ne connaissait pas… Mais le disque est sorti, les chansons existent et malgré le stress c’est pas mal finalement ! 

En 1989 on vous voit jouer une secrétaire dans un épisode de Marie Pervenche.

J’avais un éditeur qui était lié avec la production de Marie Pervenche et c’est par ce biais-là que ça s’est fait. Je crois que c’est parce que j’avais sorti un disque que quelqu’un a pensé que ça serait bon pour moi de faire ça.

Donc ça n’était pas une volonté de se lancer dans la comédie ?

Si, et pendant deux ans, neuf heures par semaine, j’ai pris des cours d’art dramatique. J’y avais amené Tiki, un grand copain et un grand numéro qui avait été manager des Martin Circus. À cette époque-là, mais c’était avant Rocking, je voulais me prouver à moi-même que je pouvais jouer. Les cours se passaient plutôt bien, mais au bout des deux années l’opportunité d’enregistrer Rocking est arrivée… J’ai aussi tourné dans un court-métrage de Geneviève Girre, Les Faux Bruits, en 1985, c’était intéressant et on s’est bien amusés.

Qu’avez-vous fait par la suite ?

On est restés mariés 21 ans Gérard et moi et ensuite il a fallu que je refasse ma vie, ce qui a été assez difficile après des années mariage et musique ! J’ai eu une période à vide, j’ai écrit des nouvelles et des histoires courtes, pas publiées. In extremis, je suis devenue coach d’anglais et traductrice. J’ai formé en anglais notamment des acteurs et des chanteurs, des banquiers, des avocats, et des PDG de sociétés internationales, et j’ai fait des traductions pour des prods d’interviews télévisés avec des créateurs de mode, des présentations de peintres et d’expos, des scénarios de films animés, des spectacles son et lumière et des livres à thème. J’ai parfois enregistré des voix off sur mes dialogues. En ce qui concerne la musique aujourd’hui j’écoute autant de classique que de pop et, vous allez trouver ça rigolo, mais quand je voyage et que je visite des églises, si une église a une acoustique sympa, j’attends que tout le monde sorte et puis je chante toute seule, du Mozart, Haendel, Bach… et des choses que je chantais à la chorale quand j’étais jeune. Je trouve que je chante mieux qu’avant parce que j’ai plus confiance. Et il y a toute une tranche de ma vie qu’on n’a pas évoquée, que je raconte d’ailleurs dans mes nouvelles sur mon site. J’ai des flashs de médiumnité ! Je suis très branchée ésotérisme. Il y a des photos sur mon site de manifestations d’énergies dans les arbres, dans des murs, partout. C’est quelque chose que je ne développe pas mais qui arrive malgré moi et je trouve ça intéressant. Il y a des présences inattendues dans ma vie… J’ai aussi voulu contribuer au monde dans lequel on vit aujourd’hui et je me suis rendu compte qu’en faisant un massage, en posant mes mains, souvent ça aidait les gens donc… j’ai participé à des stages pour développer ça. Je soigne les gens au Reiki avec mes mains, je suis diplômée Bioénergie, je fais du transfert d’énergie. Je fais aussi des visites à des personnes âgées et isolées avec une association de bénévoles. Je prends des cours de yoga et de Pilates, je fais des randonnées…

Propos recueillis le 18 octobre 2021

Retrouvez Lesley Jayne sur lesleyjayne.com et lesleyjanephillips.com
Lesley Jayne raconte souvenirs et anecdotes de ses années passées avec Gérard Blanc sur gerardblanc-inedit.com

6 commentaires

  1. Mille mercis.
    Les interviews et articles de ce site sont un pur bonheur d’informations, de rédaction et de bon sens, et d’intelligence 🙂 bref, j’adore vous lire et quels que soient les articles.
    Vous devriez d’ailleurs avoir plus de visibilité, vous le méritez c’est tellement qualitatif.
    Merci beaucoup pour cet article sur Lesley Jane, j’écoute encore son single que j’adorais à l’époque!
    J’ignorais que c’était produit par Gérard Blanc!
    Manque juste le lien vers son site 🙂
    Merci !

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    • J’avais acheté les 2 premiers 45 trs de Lesley Jayne et avais compris malgré mon jeune âge que c’était une production française des Martin Circus et plus particulièrement du blondinet Sylvain Pauchard.
      Elle et sa copine Cassie (même prod) sont venues à Bazas en juillet 1982.
      Il n’y avait pas grand monde.
      Concert sur bandes mais elles étaient toutes les deux excellentes en live.
      Je ne me suis pas dégonflé car ensuite je suis allé discuté avec Lesley Jayne pendant un long moment.
      Elle parlait très bien français.
      Je lui avait même demandé si elle accepterait de « faire l’Eurovision » pour le Royaume-Uni : JAMAIS de la vie !!!!
      Fabrice

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  2. Entretien très intéressant, merci ! Rocking n’a jamais été un hit au Royaume-Uni, n’a jamais fait partie du top 75. Aucune idée pourquoi pas, je me souviens l’avoir entendu jouer un peu. Ce fut un plaisir de le redécouvrir.

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